Sur les murs

Direction Ivry-sur-Seine, l'un des berceaux du street art de la région parisienne. Richard rencontre Stew, artiste pochoiriste, qui prend plaisir à poser sur les murs de la ville ses oiseaux, symboles de liberté universelle.

À Aubervilliers, Richard a rendez-vous avec Jo Di Bona, devant la fresque XXL qu'il a réalisée dans le cadre des Jeux Olympiques de 2024. L'artiste au style pop graffiti invite ensuite Richard à partager son art dans son atelier.

Rencontre avec Le Cyklop, street artiste qui revisite la mythologie grecque à la sauce toys, dans les rues parisiennes. C'est dans son atelier que Richard aura une vision complète de tout son univers.

Avant de les coller dans les rues, le Diamantaire taille, meule et peint ses œuvres dans son atelier du 18e arrondissement de Paris. Richard découvre toutes les facettes de son travail avant de réaliser un diamant particulier en sa compagnie.

Direction Valence en Espagne pour découvrir Stillo Noir, une street artiste qui élabore tout un univers en noir et blanc. Sur les murs de la vieille ville en format XXL ou sur papier, \ses motifs n'auront plus de secret pour Richard.

Toujours en Espagne, cette fois à la rencontre de Miedo12, passionné de graff et de lettrage. Aux côtés de Richard, le Valencien revient sur l'évolution de son art et évoque ses multiples casquettes.

Au nord de Bruxelles, dans le quartier de Jette, où ont vécu le peintre Magritte et le bédéiste Jean Roba, rencontre avec Samuel Idmtal, un artiste qui mélange pochoir, sérigraphie et photographie pour réaliser des fresques monumentales.

C'est à travers différents quartiers de Bruxelles que l'artiste Patrick Croes invite Richard à découvrir son univers abstrait et coloré, qui vise à sublimer les espaces ordinaires. Rencontre également avec Stephan Goldrajch.

À Nice, Grecs et Romains ont laissé une empreinte importante. Au château de Crémat, sur les hauteurs de la ville, rencontre de l'artiste César Malfi qui fusionne art antique et street art. Focus également sur le travail du pochoiriste Artmor1.

Toujours à Nice pour faire connaissance, au cœur de la ville, avec Mulia, une artiste qui mélange art brut et street art. Rencontre aussi avec Tina de Rubia, artiste archéologue du papier, qui pratique la technique du collage.

À la fin des années 1990, il développe son personnage : Crazy Baldhead. Passant de graffeur vandale à artiste reconnu et touche-à-tout, Sumo rencontre Richard Orlinski à Hollerich, quartier de Luxembourg.

Le style de Thomas Iser est reconnaissable : il multiplie les fenêtres. Toujours à Luxembourg, rendez-vous sur un pont emblématique avec cet artiste de la scène locale. La démarche de Raphael Gindt n'est pas décorative mais politique.

Derrière sa façade calme et sereine, Lausanne offre un espace de liberté au street art. Exemples avec CRBZ, pilier de la scène locale, dont le style prend racine dans l'art de la calligraphie.

Rencontre de César Bilavie, graffeur qui réinvite le writing avec ses lettres improbables, teintées de surréalisme et de poésie. Rendez-vous aussi avec AWOE, dont le lettrage mélange le néo-wildstyle et le figuratif grâce à l'ajout de personnages.

Berceau des idéogrammes, le Japon incarne une culture ancrée dans la célébration du visuel. Rendez-vous à Tokyo avec Jeremy Yamamura et ses Dogs : quand l'humour canin rencontre l'art des rues. Rencontre également de l'artiste tatoueur Harry Kazan.

Dans l'effervescence tokyoïte, Stephan Leroux mixe l'art contemporain, le street art et la culture traditionnelle japonaise. Rendez-vous avec lui et ses carpes koï dans le quartier d'Ueno. Aussi les délicats portraits de Geoffrey Bouillot.

Séoul cherche constamment à intégrer l'art dans son paysage. Dans le quartier de Hongdae, rencontre avec Boyane qui aime le mélange des univers. Ses thèmes : l'homme, la nature et la machine. Rendez-vous également avec Storm.

Entre les graffitis kawai et les lettrages weststyle, on peut tomber à Séoul sur des fresques énigmatiques. Exemple : les œuvres de Bruno Tao. Monochromes, tentaculaires, fascinantes, qui fourmillent de détails.

À Porto, l'artiste Hazul présente son travail : des compositions audacieuses aux formes abstraites, réalisées au pochoir. Une inspiration puisée dans les ornementations mystiques et tribales des civilisations anciennes.

Toujours à Porto, on découvre l'artiste Sphiza et sa passion singulière pour le portrait. Ses œuvres ajoutent une dimension humaine et intime aux murs recouverts. Rendez-vous aussi avec Nuno Costah.